Le rôle du déficit en inhibiteur de la C1 estérase a été reconnu en 1963.
Le traitement par C1-INH a été décrit pour la première fois en 1976. Extrait du sang humain, le risque viral a fait limiter sa prescription dans certains pays, notamment aux USA. Le risque a été considérablement réduit, dans un premier temps par un produit pasteurisé, puis ultrafiltré.