Il se passa le 14 novembre 1926, lorsque deux femmes (Une mère et sa fille) sont assassinées dans la ferme Korosagasti de Beizama. Le double assassinat provoqua un terrible impact dans la société guipuscoane de l'époque qui n'était pas habituée à ce que ce genre de faits (pire encore dans le milieu rural). L'écrivain Pio Baroja mentionna le fait dans sa nouvelle El cabo de las tormentas. Depuis lors le nom du village est toujours associé au fait que nul ne fut jamais soupçonné. D'après ce que l'on dit, il s'agirait du majordome.
La ville est remarquée pour avoir donné divers religieux de renom et de sportifs (sports ruraux basques), principalement des aizkolariak.
Parmi elles se détache la personnalité suivante: