En 2008, quelle que soit la zone où elle est exploitée, l'espèce ne bénéficie pas de mesure de protection ni même d’objectif de gestion spécifique. Les experts, selon l'Ifremer estimaient en 2006 qu'il fallait dans la plupart des cas stopper la pêche ciblant l'espèce, et quand elle est une prise accessoire, des fermetures temporaires (saisonnières) de pêche pourraient lui laisser le temps de commencer à reconstituer ses populations.