La méthode, rendue célèbre par la première phrase de L'Anglais sans peine (« My tailor is rich »), a été parodiée à de nombreuses reprises. Notamment :
Alphonse Boudard et Luc Étienne ont également écrit, en 1970, un pastiche : La Méthode à Mimile ou l'argot sans peine, où les auteurs appliquent à la lettre les principes de la méthode à l'argot. Le contraste est hilarant entre les pages de gauche écrites en argot et les pages de droite dans le français le plus académique possible : « Où qu'elle est ta bourgeoise ? – Elle est encore au pieu. – Au pieu à dix plombes ? Merde ! Elle a la crève ? – Elle a pas la crève, elle est seulement crevée » devient « Où se trouve Madame votre épouse ? – Elle est encore au lit. – Au lit à dix heures ? Grands dieux ! Serait-elle malade ? – Elle n'est pas malade, elle est seulement très fatiguée. » Le recours au latin est fréquent, comme naguère chez les confesseurs : les parties sexuelles sont ainsi nommées pudenda et « baiser à la levrette » devient « faire l'amour more canino ».
En 1985, Pierre Antilogus et Philippe Trétiack ont publié chez Lattès et en livre de poche un pastiche d'Assimil intitulé Bienvenue à l'Armée rouge et sous-titré « Le premier guide pratique du collabo ». L'idée de départ est que l'Armée rouge a envahi la France et qu'il importe de parler rapidement la langue de l'occupant. L'ouvrage contient donc des séries de phrases et de formules toutes faites, écrites dans une langue russe authentique et accompagnées de leur traduction en français. On y lit entre autres la version russe de : « C'est vous qui avez raison, monsieur l'officier » ou « Ceci est un coup monté. Ce saucisson sec ne m'appartient pas. ».