Des badigeons "pas toujours efficaces" d'huiles spéciales (de poisson, de lin dans lesquelles on fait macérer diverses plantes, éventuellement additionnées de pétrole, phénol, etc.) ont été utilisées.
Quand il s'agissait de myases externes, chez l'Homme comme chez l'animal de « petites pinces à pointes mousses » étaient utilisées pour extraire les larves là où elles étaient visibles et accessibles. On les extrayait aussi en pressant les structures furonculeuses qui trahissent leur gîte. Les plaies étaient autrefois lavées à l'eau phéniquée, crésylée ou lysolée. Aujourd'hui, cette pratique est remplacée par des désinfectants modernes, avec un éventuel traitement antibiotique.