Tarentola delalandii | |||||||||
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Classification | |||||||||
Règne | Animalia | ||||||||
Classe | Reptilia | ||||||||
Ordre | Squamata | ||||||||
Famille | Gekkonidae | ||||||||
Sous-famille | Gekkoninae | ||||||||
Genre | Tarentola | ||||||||
Nom binominal | |||||||||
Tarentola delalandii (Duméril & Bibron, 1836) | |||||||||
Caractéristiques | |||||||||
Répartition | Îles Canari | ||||||||
Biome | |||||||||
Taille (max) | 20 cm | ||||||||
Période | nocturne | ||||||||
Nourriture | insectivore | ||||||||
Mode de vie | arboricole | ||||||||
Statut de conservation IUCN : | |||||||||
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Tarentola delalandii est une espèce de gecko d'aspect trapu. La peau a un aspect rugueux, avec des petites excroissances. La teinte est gris-marron, avec des taches gris-noir et d'autres blanches. L'extrémité des excroissances est blanche.
La femelle est plus petite, et ne dépasse pas les 17 cm, alors que les mâles atteignent les 20 cm.
Le nom de cette espèce est dédié au naturaliste Delalande.
On trouve cette espèce sur l'ile de Cap-Vert. On la trouve dans les zones sêches près des côtes.
Aucune, mais l'espèce Tarentola gigas a été classé comme sous-espèce de cette espèce (sous le nom de Tarentola delalandii gigas) avant d'être promu au rang d'espèce à part entière.
Les femmelles pondent trois fois deux œufs.