La moyenne empirique d’une suite de variables aléatoires indépendantes, identiquement distribuées, et intégrables, converge presque sûrement vers leur moyenne mathématique (ou espérance).
On note souvent :
Ainsi l'énoncé devient
Théorème — Pour une suite de v.a. i.i.d., on a :
De plus, si l'une de ces deux conditions équivalentes est remplie, on a:
L'énoncé ci-dessous est la forme habituelle de la loi forte des grands nombres, et est une conséquence directe (une forme affaiblie) du Théorème donné plus haut :
Théorème — Soit une suite