On ne sait pas vraiment si les Amérindiens de l'époque précolombienne utilisaient l'écorce de quinchina. Par contre, il a été observé un usage contemporain de décoctions de C. pubescens Vahl comme antipaludique au Nicaragua et de l'écorce d'autres espèces de quinquina dans d'autres régions andines. Les populations de Madagascar utilisent aussi le quinquina rouge.
Au Brésil, l'écorce de quinquina est considérée comme tonifiante et antipyrétique. Elle est utilisée en cas d'anémie, de désordres gastrointestinaux, de fatigue, fièvre et paludisme.
![]() Larges feuilles du C. pubescens | Fleur de C. pubescens |