Charles Wilson a aperçu une gloire en travaillant à la station météorologique de Ben Nevis. La vision l'a tellement impressionné qu'il a développé un appareil pour générer des nuages artificiels afin de pouvoir recréer en laboratoire les conditions nécessaires à ce phénomène. Son travail a mené à la chambre à brouillard qu'il utilisa avec Arthur Compton pour la détection des radiations ionisantes qui leur a valu le prix Nobel de physique en 1927.
Leo Frankowski a utilisé le phénomène comme point important de sa saga Conrad Stargard (en). Le personnage principale est envoyé au XIIIe siècle et doit y affronter de nombreuses aventures, y compris échapper à l'invasion mongole de 1241. Dans le troisième volume, The Radiant Warrior, le héros met sur pied une armée moderne et utilise ses connaissances sur les Gloires pour faire croire à ses recrues qu'ils sont invincibles. À une autre occasion, il impressionne le fils du duc de Pologne, un homme très religieux, avec le phénomène et réussit ainsi à obtenir une aide financière.
L'auteur écossais du XVIIe siècle James Hogg utilise un gloire dans son livre The Private Memoirs and Confessions of a Justified Sinner. Le héros George Colwan marche au sommet de la colline Arthur's Seat quand il voit un halo autour de son ombre dans la brume devant lui et l'ombre d'un géant menaçant derrière lui. Le premier est sa Gloire et le second un spectre de Brocken provenant de son demi-frère venu pour le tuer.