La production totale nette d'électricité (production brute primaire, plus production thermique classique, moins les pertes) s'élève à 549,1 TWh en 2008. Elle se répartit en :
Les différents moyens peuvent être activés selon les pics de consommation prévus (en particulier en fonction des facteurs climatiques) ou statistiques. Par exemple, une centrale nucléaire produit de très grandes quantités d'électricité (de 900 à 1450 MW en comparaison avec un barrage hydro-électrique, mais il faut plusieurs jours pour démarrer une centrale nucléaire à l'arrêt, alors qu'il ne faut que quelques heures pour un barrage hydro-électrique, encore moins pour une centrale thermique.
En conséquence, un plan journalier de production d'énergie est établi par les fournisseurs d'électricité. Les centrales thermiques sont en service permanent ou saisonnier (ce qui signifie que certaines sont mises à l'arrêt en été), alors que les centrales hydro-électriques sont activées ou non en fonction du plan de production.
Depuis plusieurs années une table ronde réunissait annuellement les régulateurs des États-Unis et l'association des régulateurs de l'Union européenne (CEER), puis en 2006 une plate-forme de partage avait été créée sur l'Internet ; En octobre 2009, 200 régulateurs de l'énergie et 11 associations régionales ont créé une « confédération international des régulateurs de l'énergie » (ICER) pour échanger sur les « bonnes pratiques » et le marché mondial.
4 thèmes et groupes de travail ont été retenus :
La confédération est en 2009 présidée par l'anglais John Mogg, directeur de l'OFGEM. Elle devrait travailler sur la base d'enquêtes et d'études et prendre des positions