En France, on trouve quatre catégories de chiens. Chaque chien en fonction de sa taille devra concourir dans les catégories suivantes :
La France a ajouté au règlement de la Fédération cynologique internationale (FCI) une quatrième catégorie (D), selon une liste évolutive, pour permettre à tous les chiens de pratiquer l'agility en compétition. Quelques cas particuliers sont pris en compte pour le classement de certaines races dans les catégories A, B et C.
Le règlement international ne compte, lui, que trois catégories :
La hauteur des sauts est plus élevée qu'en France.
Le parcours est laissé à l'appréciation du juge. Il le trace avec l'aide matérielle des organisateurs. La disposition, la qualité et le nombre des obstacles déterminent la complexité et la rapidité du parcours qui doivent permettre une évolution aisée et sans heurts du chien. L'imagination du juge est cependant bridée par les aspects réglementaires. Ils fixent des limites d'une part à la longueur du parcours et d'autre part au nombre, qualité et disposition des obstacles selon la catégorie des chiens.
Le juge mesure avec précision la longueur L(m) et choisit la vitesse d'évolution V(m/s) en fonction du niveau de l'épreuve et de la complexité du parcours. Le Temps de parcours standard TPS(s) est calculé selon la formule: TPS(s) = L(m)/V(m/s).
Il reste alors à déterminer le temps maximum de parcours TMP(s) qui sert de référence pour l'octroi des pénalités. Il sera, sans être inférieur à 1,5 fois le temps de parcours standard, généralement le double de ce dernier. Chaque seconde qui dépasse le TPS donne un point de pénalité. Au-delà du TMP, l'équipe ne sera pas classée.