Armel Pécheul, professeur agrégé de droit public, est né le 15 juillet 1951 à Strasbourg (Bas-Rhin).
À 35 ans, il fut nommé en 1986 recteur de l'académie de Limoges alors que Jacques Chirac revenait au pouvoir. Il est aussi avocat au barreau de la Roche-sur-Yon.
Il est le fils d' Armel Pecheul, fonctionnaire, et de Mme, née Solange Croissant, secrétaire. Il est marié depuis le 27 mars 1972 à Mlle Evelyne Bodenez (3 enfants : Tania-Marie, Emilie, Pierre).
Il étudie au Lycée David d´Angers à Angers, puis aux facultés de droit d´Angers et de Rennes. Il est diplômé d'études supérieures de sciences politiques, docteur en droit et agrégé de droit public.
Armel Pécheul a été successivement assistant puis maître-assistant à la faculté de droit d´Angers (1976-1983), professeur agrégé à la faculté de droit de Nantes (1984-86), avocat à la cour d´appel d´Angers (1982-1986), Recteur de l´académie de Limoges (1986-1988), professeur agrégé à la faculté de droit d'Angers (depuis 1989 à aujourd'hui).
Armel Pécheul participe au nom du RPR aux États-Généraux de l'opposition pour la préparation des élections législatives de 1993, après quoi il prend la responsabilité du groupe de travail sur les « valeurs » dans l'état-major de campagne de Jacques Chirac pour les présidentielles de 1995.
Investi dans les questions d'éducation, il est délégué national du RPR à l'éducation (1989-1993), puis secrétaire national à l'enseignement supérieur (1993-1995). De 1993 à 1995, il est conseiller auprès de François Fillon, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche. En 1995, il conduit une liste dissidente du RPR à l'élection municipale de Cholet, recueillant 7,96 % des voix au premier tour.
Il se rapproche du Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, dont il est, en 2002, le candidat aux élections législatives dans la 6e circonscription du Maine-et-Loire (Angers-Ouest Saint-Florent), face au député sortant UMP et ancien ministre Hervé de Charette.
En 2005, il signe un appel de juristes prenant position pour le non au référendum sur le Traité constitutionnel européen.
Installé en Vendée, il y est nommé responsable du Mouvement pour la France dans la 1re circonscription. En 2008, il est candidat à l'élection municipale de Saint-Martin-des-Noyers, mais il n'est pas élu.
Membre du comité d'honneur du Mouvement Initiative et Liberté, il participe régulièrement à ses conventions nationales.
Depuis octobre 2000, il préside l'association Enseignement et Liberté, qui vise à « maintenir et promouvoir la liberté de l'enseignement ».
C'est un souverainiste, qui intervient souvent à l'université d'été du Souverainisme.
Il est membre de la Commission pour l'Etude des Communautés Européennes.
Il est également vice-président de l'UNI