Les principaux prédateurs de l'autruche, outre l'homme, sont les hyènes et les lions, qui apprécient particulièrement les autruchons, ainsi que les chacals et les percnoptères, qui pillent les œufs.
La sous-espèce syriacus a disparu du Néguev, à cause de la chasse dès les années 1920, et de Jordanie et d'Arabie saoudite dans les années 1960. 13 spécimens, d'une autre sous-espèce, venant d'Éthiopie ont été réintroduits au Néguev en 2005.
L'espèce est très menacée en Algérie, au Burkina Faso, au Cameroun, au Mali, en Mauritanie, au Maroc, au Niger, au Nigéria, en République centrafricaine, au Sénégal, au Soudan et au Tchad. À ce titre, elle figure sur la liste des espèces de l'Annexe I du CITES (Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora i.e. Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, dite de Washington).
L'autruche est naturellement très présente sur les timbres des pays d'Afrique.
L’Autruche d'Afrique est l'une des deux espèces d'autruches (Struthio). En effet, l'Autruche de Somalie Struthio molybdophanes (Reichenow 1883), était autrefois considérée comme appartenant à l'espèce Struthio camelus, mais est désormais une espèce à part entière.
L'Autruche d'Afrique comptait quatre sous-espèces mais n'en compte plus que trois :