Groupe multimâle-multifemelle. Polyandrie. Polygynie présumée.
Basse pour un ouistiti. 6,6 (d’après Rylands, 1982). 4,3 (d’après Becky E. Raboy et al., 2008).
Contact intragroupe (whirr) d’environ 8KhZ (d’après Stevenson et Rylands, 1988). Appel long et répétitif (phee), incluant 3 à 7 phee consécutifs (d’après Schaffner et al., 1995), appel distinct selon les individus et sexuellement dimorphique (d’après Jorgensen et French, 1998 ; d’après Smith et al., 2007). Cri de contact (trilles).
Le mâle atteint la maturité sexuelle à 1 an (d’après French et Schaffner, 1995) et la femelle à 12-15 mois (d’après Smith et al., 1997). La gestation dure 4 mois et demi et l’intervalle entre les naissances est d’environ 5 mois (d’après French et al., 1996 ; d’après Ross et al., 2007).
Érection de la queue, piloérection, remuement des touffes auriculaires. Rituel silencieux bouche ouverte pour initier l’accouplement (d’après Shepherd et al., 1992).
Marquage supra pubique et anogénital. Pas d’utilisation des glandes sternales pour le marquage, en captivité, et urine pour marquer davantage pendant le temps d’alimentation (d’après Forman et French, 1992).
Déforestation. Dans la forêt côtière atlantique, de nombreuses plantations de cacao ont été créées au début du siècle. Ces cabrucas, où le cacao pousse dans le sous-bois à l’abri d’un soleil trop fort, représentent une solution originale pour préserver les ouistitis dans la Mata Atlântica. Elles permettent de sauvegarder la forêt tout en cultivant son sol. Une stratégie identique peut être appliquée avec la piassava (fibre textile) produite par les palmiers Leopoldina piassaba.
Tayra. Coati. Faucon.
Préoccupation mineure.
RB d’Una (70 km²), Station expérimentale de Lemos Maia (4 km²) et Station expérimentale de Canavieiras (6 km²), dans le Bahia (Brésil).