La Patrouille du temps - Définition

Source: Wikipédia sous licence CC-BY-SA 3.0.
La liste des auteurs de cet article est disponible ici.

Éditions françaises

Les premières éditions proposaient quatre nouvelles dans un ordre parfois différent. L'édition Belial datée de 2005 ajoute une cinquième nouvelle au recueil : Les Chutes de Gibraltar.

La Patrouille du temps de Poul Anderson, traduit de l'américain par Bruno Martin, Michel Deutsch et Roger Durand, a connu différentes éditions françaises :

  • Marabout-Gérard, Coll. « Marabout géant », n°232, 1965 (rééditions en 1970 et 1978) ;
  • J'ai Lu, Coll. « Science-fiction et fantastique », n°1409, 1982 (réédition en 1987) ;
  • Belial, 2005. Les éditions du Bélial ont aussi traduit et publié le reste du cycle de la patrouille du temps de 2007 à 2009 en trois volumes supplémentaires: "Le patrouilleur du temps" (2007), "La rançon du temps" (2008) et "Le bouclier du temps" (2009). Ces trois volumes ont été traduits par Jean-Daniel Brèque.

Critiques spécialisées

Lorris Murail a déclaré à propos du roman de Poul Anderson : « Amusant et sans conséquence. Un classique mineur. »

Citations

Les numéros de page des citations suivantes font référence à l'édition citée en bibliographie.

  • « C'est comme si le continuum était fait d'un réseau de solides rubans de caoutchouc. Il n'est pas facile de le déformer, il tend toujours à revenir à sa forme antérieure. », p. 22
  • « Retourner en arrière pour tuer Hitler et les chefs japonais et soviétiques... pour que quelqu'un de plus rusé prenne leur place ! », p. 25
  • « Il y a tellement de millénaires à surveiller et si peu de vies humaines. », p. 77
  • « Il allait falloir se réhabituer à tenir compte de l'avis d'une femme, la consulter. Ce ne serait pas facile. », p. 138
  • « Je me soucie peu des Aztèques. Si vous les étudiez, vous conviendrez que Cortès leur a fait une faveur au Mexique. », p. 163
  • « À quoi aboutit cette mission, sinon à faire revenir l'avenir sur lui-même pour créer son propre passé ? », p. 189
  • « Même au XXe siècle d'Everard, la France restait celte dans une bonne mesure. Il ne croyait guère aux théories verbeuses des caractéristiques raciales innées, mais il y avait probablement du vrai dans la croyance à un comportement traditionnel si ancien qu'on l'acceptait inconsciemment. », p. 215
  • « Comme l'a souligné Whitehead, l'idée médiévale d'un dieu unique et tout-puissant était capitale pour la science, car supposait la notion d'ordre dans la nature. », p. 220
Page générée en 0.093 seconde(s) - site hébergé chez Contabo
Ce site fait l'objet d'une déclaration à la CNIL sous le numéro de dossier 1037632
A propos - Informations légales
Version anglaise | Version allemande | Version espagnole | Version portugaise