Rhinochelys - Définition
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Introduction
| Rhinochelys † | |||||||||
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| Classification | |||||||||
| Règne | Animalia | ||||||||
| Classe | Sauropsida | ||||||||
| Ordre | Testudines | ||||||||
| Sous-ordre | Cryptodira | ||||||||
| Super-famille | Chelonioidea | ||||||||
| Famille | Protostegidae | ||||||||
| Famille | Desmatochelyidae | ||||||||
| Genre | |||||||||
| Rhinochelys † Seeley, 1869 | |||||||||
| Espèces de rang inférieur | |||||||||
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Rhinochelys est un genre de tortues marines fossiles du Crétacé d'Europe et d'Asie mineure. Il est généralement placé dans la famille des Protostegidae, ou parfois parmi celle des Desmatochelyidae, par certains auteurs.
Description
Le genre est principalement connu par des restes fossiles crâniens, trouvés en Angleterre et en France. En 1869, Seeley crée le genre Rhinochelys pour le spécimen décrit par Owen, en 1851, sous le nom Chelone pulchriceps. Un grand nombre de spécimens ont été décrits par Seeley, ainsi que par Lydekker, en 1889.
Principales espèces
En tout, plus d'une vingtaine d'espèces ont été nommées et décrites, notamment par Seeley en 1869 et Lydekker en 1889. Le genre est révisé par Collins en 1960, qui établit un nouveau diagnostic de espèces ; en tout, elle reconnaît seulement trois espèces anglaises valides, plus l'espèce française R. amaberti. Ces espèces sont considérées comme synonymes par Hirayama ; il faut y ajouter R. nammourensis, du Liban, découvert en 2006, et peut-être Cimochelys benstedi.
- Rhinochelys amaberti
- Rhinochelys cantabrigiensis ; syn : R. jessoni ; R. cardiocephalus ; R. dayi ; R. eurycephalus ; R. platyrhinus ; R. rheporhinus ; R. sphenicephalus
- Rhinochelys elegans ; syn : R. mastocephalus ; R. stenicephalus ; R. brachyrhina ; R. macrorhina
- Rhinochelys nammourensis
- Rhinochelys pulchriceps ; syn : Chelone pulchriceps ; R. dacognathus
- Rhinochelys graptocephalus est un fossile en mauvais état, pour lequel l'appartenance au genre Rhinochelys reste incertaine.
- R. colognathus, R. dimerognathus, R. grypus, R. leptognathus et R. platycephalus correspondent tous à des restes partiels de mandibules ; si leur statut est incertain, Collins a pu établir qu'ils n'appartenaient pas au genre Rhinochelys.
