Dans une expérience de physique des hautes énergies, un absorbeur est un bloc de matière utilisé pour absorber une partie de l'énergie d'une particule élémentaire incidente. Les absorbeurs peuvent être réalisés dans une large gamme de matières,selon le but fixé. On peut ainsi choisir des absorbeurs en plomb ou en hyrogène liquide, par exemple. La plupart des absorbeurs sont utilisés comme des éléments des détecteurs.
L'utilisation des absorbeurs comme refroidisseurs d'ionisation est plus récente, comme dans l'[[|]] (en).
Pour capter l'énergie solaire, la majeure partie du collecteur récupère la chaleur des radiations solaires au travers d'un médium (eau+antigel). Celui-ci est chauffé et circule entre le collecteur et le réservoir de stockage. L'utilisation d'absorbeurs noirs, ou encore mieux à couches sélectives permettent d'atteindre un haut niveau d'efficacité.
Dans les écrans solaires, les ingrédients absorbant le rayonnement UVA/UVB, tels que l'avobenzone (en) et l'octyl méthoxycinnamate (en), sont connus comme absorbeurs. Ils se diffèrencient des "bloqueurs" physiques de radiations UV tels que le dioxyde de titane et l'oxyde de zinc.
La physique des accélérateurs traite des problèmes de construction et d'exploitation des accélérateurs de particules.
Les expériences menées grâce à des accélérateurs de particules ne sont pas considérées comme relevant de la physique des accélérateurs. Selon les objectifs de l'expérience, elles relèvent de la physique des particules, de la physique nucléaire, de la physique de la matière condensée ou de la physique des matériaux (en), etc, ou encore à d'autres champs scientifiques ou techniques. Le type des expériences menées avec un accélérateur particulier est largement déterminé par les caractéristiques de celui-ci, telles que l'énergie, (par particules) le type des particules étudiées, l'intensité du faisceau, sa qualité, etc.
Lors d'une expérience avec détecteur de particules, la reconstruction des évènements (en) est le processus d'interprétation des signaux électroniques produits par le détecteur pour déterminer les particules élémentaires originales l'ayant traversé, leur moment, leur direction, et les premiers vertex de l'évènement. Ainsi il est possible de déterminer le processus initial s'étant produit au point d'interaction (en) de l'accélérateur de particules, et dont l'étude est le but ultime de l'expérience. La reconstruction de la totalité des évènements est rarement possible (et rarement nécessaire) ; habituellement, seule une partie des données décrites ci-dessus est obtenue et traitée.
L'expérience Belle est une expérience de physique des particules menée par la collaboration Belle,une collaboration internationales deplus de 400 physiciens et ingénieurs conduisant des investigations sur les effets de la violation CP à l'Organisation de Recherche de l'Accélérateur des Hautes Energies (K2K) à Tsukuba, Préfecture d'Ibaraki, au Japon.