Dans beaucoup de pays, une organisation professionnelle encadre la profession, protège ses intérêts, et parfois régit la pratique. Le standard et la force des règles de pratique varient d’un pays à l’autre.
Aux États-Unis, l’architecture de paysage est régie par les États, un seul, le Vermont n’ayant aucune réglementation. Un architecte paysagiste qui veut être membre d’un institut professionnel doit avoir une formation solide ou de l’expérience combinée avec une formation continue. Il y a généralement un examen d’entrée sur la pratique professionnelle et une entrevue avec un membre senior de la profession. Les permis sont supervisés au niveau de l’État et au niveau national par les Council of Landscape Architectural Registation Boards (CLARB).
Au Canada, l’architecture de paysage est réglementée par des organisations provinciales sous la gouverne de l'Association des Architectes Paysagistes du Canada (The Canadian Society of Landscape Architects) [1]. On devient membre de celle-ci par l’intermédiaire des organisations provinciales, territoriales et régionales. Dans certaines provinces dont le Québec, l’Ontario et la Colombie-Britannique, le membership de l’AAPC est soumis à la réussite d'une série d’examens.
En Australie, c’est le Australian Institute of Landscape Architects (AILA) qui régit la profession. Les architectes paysagistes agréés par l’institut ont le titre de Registered Landscape Architect.
Les exigences varient dans les huit États et territoires et il n’y a pas d’exigence minimale dans la loi.
http://www.aila.org.au