Depuis 1990, Gênes est équipée d’une ligne de métro gérée par la compagnie Transdev. Le réseau comporte aussi 3 navebus (Pegli-Centro, Genes-Camogli, Genes-Portofino), une ligne de trolleybus, deux funiculaires, une ligne à crémaillère, plusieurs lignes d'autobus, et dix ascenseurs urbains.
Période | Identité | Parti | Qualité |
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30 novembre 1997-31 mai 2007 | Giuseppe Pericu | Démocrates de gauche | |
31 mai 2007 | Marta Vincenzi | Parti démocrate | |
L'ensemble Grande Genova (Grande Gênes) - c'est-à-dire la ville qui s'étend d'un bout à l'autre du golfe qui porte le nom de Gênes, depuis les falaises de Nervi jusqu'à la plage de galets de Voltri - remonte à l'époque du fascisme (1926), quand furent agglomérés au chef-lieu plus de vingt communes, jusque là autonomes, qui sont aujourd'hui des quartiers (delegazioni) mais qui sont depuis toujours dans le cadre du centre ville : les vallées adjacentes et les deux riviera.
Par extension, on utilise parfois le terme pour l'ensemble de l'agglomération autour de la commune de Gênes, avec les myriades de petites municipalités qui s'étendent sur flancs des collines et les hauteurs des environs (comme le mont Figogna, où se trouve le sanctuaire de la Madonna della Guardia) ou encore les lieux touristiques divers, falaise ou plages de sable au-delà de Vesima, à l'ouest, ou de Bogliasco, à l'est.
En fait, c'est le réseau d'autobus et la ligne ferroviaire qui les desservent qui marquent le mieux l'unité de ces divers quartiers de l'actuelle et proprement dite « grande Gênes ».
Arenzano, Bargagli, Bogliasco, Bosio (AL), Campomorone, Ceranesi, Davagna, Masone, Mele, Mignanego, Montoggio, Sant'Olcese, Sassello (SV), Serra Riccò, Sori, Tiglieto, Urbe (SV)
Habitants recensés