Enel - Définition

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Internationalisation

  • ENEL devient un groupe italien multi-services (électricité, eau, gaz, télécoms, Wind-Infostrada).

Depuis la privatisation, Enel a conclu un certain nombre d'accords internationaux et prises de participations majoritaires dans des producteurs comme :

  • Slovaquie : Slovenské Elektrárne, parc de production de 7 000 MW,
  • Grèce, avec EnelCO deux centrales mixtes au gaz de 430 MW chacune, construction d'une unité de 127 MW éoliens,
Sites de production d'électricité d'Enel dans le monde
  • Espagne. En janvier 2002, ENEL rachète pour 1,87 milliards d'euros, la société Viesgo, filiale d'Endesa et cinquième électricien espagnol. Cette société est active tant dans la distribution d'énergie électrique, dans les régions autonomes des Asturies, de Cantabrie, de Castille et Galice, que dans la production, avec des usines en Andalousie, dans l'Aragon, les Asturies, la Cantabrie, la région de Castille-La Manche, Castille-et-León et Catalogne. Elle détient 5 % de la puissance installée en Espagne et 2,4 % du marché de la distribution, avec une capacité installée de 2 200 MW, elle est la 1re producteur du pays, avec sa société Enel Viesco présente dans le pays. En début d'année 2007, l'allemand E.ON s'apprêtait à lancer une OPA hostile sur l'espagnol Endesa. ENEL et le groupe espagnol Acciona ont été appelés comme chevaliers blancs et ont fait une contre proposition ce qui obligea l'allemand à retirer son OPA. ENEL a donc racheté pour 43 Md€ 67% du groupe Endesa et devient ainsi le second électricien européen, devant EDF. En février 2009, Enel rachète pour 11 milliards d'euros, les 25% d'Endesa que possédait Acciona. Enel possède désormais 92% d'Endesa.
  • France: La filiale française d'Enel, Enel France, est créée en janvier 2007. L'activité première est basée sur la commercialisation aux clients industriels. Après la finalisation de l'opération sur le groupe Endesa, Enel devient l'actionnaire majoritaire de la SNET Société nationale d'électricité et de thermique qui est cédée immédiatement à E-On. Enel participe à hauteur de 12,5% dans la centrale EPR de Flamanville. Précédemment ils avaient financé le surégénérateur de Creys-Malville (Superphénix, dont Ansaldo avait fourni la partie génératrices) à hauteur de 33.33 %. Le rachat de Erelis permet à Enel d'acquérir un portefeuille de projets de parcs éoliens de 500 MW.
  • Belgique, avec Duferco construction d'une unité gaz de 420 MW,
  • Turquie,
  • Bulgarie, une centrale thermoélectrique de 840 MW, la plus puissante du pays,
  • Roumanie, rachat de deux sociétés de distribution, Electrica Banat et Electrica Dobrogea qui couvrent 20% du réseau, rachat de Electrica Muntenia en 2006 qui exploite le réseau de Bucarest,
  • Russie, reprise de la centrale NWTPP de 900 MW qui alimente S. Petersbourg, rachat de RusEnergoSbyt qui dessert les plus gros industriels russes, et rachat en 2007 des actifs gaz de Yukos en association avec l'italien ENI : Articgaz, Urengoil et NeftegazTechnologia,
  • USA & Canada, Enel North America dispose de centrales traditionnelles de 1000 MW et développe avec TradeWind Energy un programme de 1000 MW d'éoliennes.
  • Chili, deux centrales hydroélectriques en service de 600 MW et construction de deux centrales géothermiques de 40 MW,
  • Panama, rachat de EGE Fortuna qui dispose de centrales hydroélectriques d'une capacité de 300 MW,
  • Costa Rica - Nicaragua - ElSalvador - Guatemala - Brésil,
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