Le gaz naturel devra probablement d'abord être réinjecté pour maintenir la pression dans le réservoir, avant de pouvoir être désoufré et commercialisé dans une phase plus tardive de la vie du gisement. Sa teneur en soufre pose problème.
Ceci explique les difficultés exploratoires et de préparation d'une exploitation rentable.
Le production prévue en pointe est de 1,2 Mbbls/j (mais cette quantité ne serait atteinte qu'après 2015, le développement se faisant par phases), ce qui en ferait, en production, le troisième gisement du monde après Ghawar et Burgan.