La quantité est un terme générique de la métrologie (compte, montant) ; un scalaire, vecteur, nombre d’objets ou d’une autre manière de dénommer la valeur d’une collection ou un groupe de choses.
C’est habituellement représenté comme un nombre (valeur numérique) d’unité ensemble avec le type de ces unités (si demandé) et un référent définissant la nature de la collection. Les deux parties sont nécessaire.
Des exemples sont:
Un nombre par lui-même n’est pas une quantité, ni une simple mesure. Quand la compte d’unité est un alors l’article indéfini peut être utilisé (par exemple, une voiture) et des alternatives similaires existent pour d’autres comptes particuliers (par exemple, un couple pour deux, une douzaine d’œufs).
La quantification dans son sens le plus simple peut être trouvée dans des formules comme A est plus grand que B. Dans l’exemple cité, une expression est faite que A a une plus grande quantité de quelque chose (comme un volume ou charisme) que B; et que si A et B étaient placés dans un ensemble ordonné, alors A viendrait après B si l’ordre est arrangé dans une échelle croissante (plutôt que décroissante).
En linguistique, la quantité indique la durée relative d’un phonème. Au degré non-marqué [C, V], on oppose les contoïdes et vocoïdes qui subissent un allongement [C?, V?] ou un semi-allongement [C?, V?]. Il convient de ne pas confondre les consonnes longues ([C?]) avec les consonnes géminées ([CC]). En français, la quantité ne permet pas à elle seule d’oppositions phonologiques mais le finnois a deux degrés de quantité (bref et long) et l’estonien trois : bref, long et surlong (en fait une combinaison des degrés bref et long).