De 1950 à 1976, Louis Néel cumule les mandats scientifiques : directeur et président de l’Institut polytechnique de Grenoble, directeur du Centre d’études nucléaires de Grenoble, membre du Comité consultatif des Universités, membre du directoire, puis du conseil d’administration du CNRS, membre du Conseil de l’enseignement supérieur, président de la Commission de physique du CNRS, électronique, électricité et magnétisme, et représentant de la France au Comité scientifique de l’OTAN.
Il a œuvré pour l’implantation à Grenoble de l’Institut Laue-Langevin et de l’ESRF (European Synchrotron Radiation Facility). Il a soutenu le développement à Grenoble des mathématiques appliquées.