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Orientation : | Est-ouest | |||
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Débutant : | Côte de la Fabrique | |||
Finissant : | Avenue De Salaberry | |||
Longueur : | 1,7 km | |||
Désignation : | 17e siècle | |||
Attrait(s) : | Palais Montcalm |
La rue Saint-Jean est une des plus anciennes rues de la ville de Québec, et en est une des plus populaires et fréquentées. Une partie de cette rue est à l'intérieur des fortifications, elle fait donc partie du Vieux-Québec. L'autre partie de la rue est en dehors des fortifications, qu'elle franchit par la porte Saint-Jean, et fait partie du quartier Saint-Jean-Baptiste.
La rue débute, dans le Vieux-Québec, à la rencontre de la côte de la Fabrique et de la rue Couillard, et se dirige vers le sud-ouest jusqu'à la rue Salaberry, limite des quartiers Saint-Jean-Baptiste et Montcalm, où elle devient le chemin Sainte-Foy. Sa longueur est d'environ 1,8 km.
Du côté intra-muros, on y retrouve une abondance de commerces tels que restaurants, boutiques et quelques auberges. Cette section de la rue Saint-Jean est ainsi à caractère plus touristique, typique du Vieux-Québec. L'architecture y est plus imposante et plus ancienne.
Du côté extérieur aux fortifications, la rue Saint-Jean revêt un aspect de vie de quartier, d'un art de vivre. On y retrouve plusieurs commerçants offrant des produits et services tels que : aliments biologiques ou du terroir, pharmacies, boulangerie, boucherie, cafés etc... On retrouve dans les alentours de ce segment de la rue Saint-Jean, davantage de maisons et édifices à habitation, comparé au segment fortifié.
La rue Saint-Jean a été tracée par l'arpenteur et syndic Jean Bourdon (v. 1601 - 1668), personnage important des premiers temps de Québec, pour relier à la ville d'alors son fief de Saint-Jean situé dans l'actuel quartier Montcalm et qu'il avait acquis en 1639.
Classés selon leur localisation, d'est en ouest.