Après la décision prise en 2006 d'implanter le projet ITER en France, plusieurs institutions françaises d'enseignement supérieur se sont jointes de façon à ouvrir une spécialité de master "sciences de la fusion". Cette formation vise à former les futurs scientifiques et ingénieurs, français ou étrangers, qui souhaitent s'investir dans les programmes tant nationaux que privés concernant les recherches sur l’énergie et la fusion, en particulier dans l'exploitation scientifique et technique de grands équipements associés. La formation se fait au travers de trois parcours : deux portent essentiellement sur la physique de la fusion, soit par confinement magnétique, soit par confinement inertiel ; un troisième parcours est à contenu plus technologique.
Dix établissements, répartis sur quatre sites du territoire français, sont cohabilités pour délivrer ce diplôme, avec des enseignements qui ont lieu en parallèle dans ces sites et lors de regroupement des étudiants à Cadarache et Bordeaux :
Cinq écoles d'ingénieur sont également associées: