« Quand j’entreprends la dissection d'un cadavre humain je passe d’abord une solide corde nouée sous la mâchoire inférieure et traversant les zygomatiques jusqu'au sommet de la tête ... L’extrémité inférieure de la corde coulisse dans la gorge d’une poulie fixée à une poutre dans la chambre pour que je puisse soulever ou abaisser le corps pour qu’il reste suspendu sur place ou bien qu’il puisse tourner dans n'importe quelle direction en fonction de ce que je recherche ... Vous devez prendre soin de ne pas mettre la corde autour du cou, à moins que certains des muscles liés à l'os occipital aient déjà été enlevés. ... »
— Andreas Vesalius, De humani corporis fabrica