Il a tenté de mettre la médecine à la portée des tous, et d'affranchir les malades pauvres de la rapacité notoire des apothicaires. Dans plusieurs de ses livres, il prétendait montrer que, dans bien des cas, on allait chercher fort loin des remèdes qu'on pouvait cueillir dans son jardin !. Pour Gérard Oberlé, "Les ouvrages de Mizault méritent d'être recherches aujourd'hui où ressurgissent des manuels de santé, concotés par de lointains épigones du savant bourbonnais, chanteuses au chômage, mages du poireau et autres guérisseurs naturels"