C'est un pont suspendu à câbles d'acier et suspentes, comme tous ceux d'Arnodin jusqu'en 1900. Le tablier a été détruit durant la guerre d'Espagne, puis reconstruit. La nacelle, qui comporte des éléments d'aluminium dans le but de l'alléger, a vu sa capacité plusieurs fois augmentée.
Les ancrages sont implantés derrière les maisons, en pleine ville : les câbles passent donc par-dessus les toits. Pour éviter cela, à Marseille ou à Nantes, où la place manquait, Arnodin préféra réaliser des ponts transbordeurs à haubans et contrepoids.