Arkema est l'objet de critiques pour ses impacts environnementaux et ses pratiques anti-concurrentielles.
Suite au non respect de la législation environnementale (relative au fonctionnement d'un incinérateur de boues), le tribunal de Saint-Avold a condamné Arkema, le 6 janvier 2009, à payer une amende et des dommages et intérêts.
Selon une étude de France Nature Environnement publiée en janvier 2009, des taux de mercure jusqu'à 20 fois supérieurs aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé ont été observés sur le site d'Arkema à Jarrie. Cette information est contestée par Arkema.
En 2006, Arkema fut condamné par la Commission européenne à 219 millions d'euros d'amende; pour entente illégale sur les prix du verre acrylique.