En 1931, Kurt Gödel, pour démontrer son théorème d'incomplétude, utilise un énoncé inspiré du paradoxe d'Épiménide.
En mathématiques et en logique mathématique l'autoréférence prend également la forme de l'l'imprédicativité (ou non-prédicativité). Ce concept apparut au cours du débat sur les fondements qui opposa Henri Poincaré et Bertrand Russell au début du XXe siècle.
Le poème de Francis Ponge Fable commence par « Par le mot par commence ce texte » et le second vers est « Dont la première ligne dit la vérité ».
Elle apparaît principalement pour les autonymes, c'est-à-dire les mots cités en tant que mots. Les autonymes doivent être marqués typographiquement pour être distingués du discours non autoréférent. Le soulignement peut être utilisé dans un texte manuscrit, l'italique dans un texte dactylographié. Par exemple : « le mot mot est un nom ». Cela renvoie au paradoxe de Grelling-Nelson.
La mention « Vous êtes ici », présente sur les cartes implantées à un endroit fixe.