The Perfect Invasion (1942) (pseudonyme: S. D. Gottesman) ;
The Only Thing We Learn (1949) ;
Iteration (1950) ;
The Little Black Bag (1950) ;
The Mind Worm (1950) ;
The Silly Season (1950) ;
Friend to Man (1951) ;
The Marching Morons (1951) ;
With These Hands (1951) ;
The Altar at Midnight (1952) ;
The Goodly Creatures (1952) ;
The Luckiest Man in Denv (1952) (pseudonyme: Simon Eisner) ;
Make Mine Mars (1952) ;
That Share of Glory (1952) ;
The Adventurer (1953) ;
Dominoes (1953) ;
Everybody Knows Joe (1953) ;
The Meddlers (1953) ;
The Remorseful (1953) ;
Time Bum (1953) ;
Gomez (1954) ;
I Never Ast No Favors (1954) ;
The Adventurers (1955) ;
The Cosmic Expense Account (1956) ;
The Education of Tigress McCardle (1957) ;
The Last Man Left in the Bar (1957) ;
MS Found in a Chinese Fortune Cookie (1957) ;
The Slave (1957) ;
The Advent on Channel Twelve (1958) ;
The Events Leading Down to the Tragedy (1958) ;
Passion Pills (1958) ;
Shark Ship (1958) ;
Theory of Rocketry (1958) ;
Two Dooms (1958) ;
Virginia (1958).
Avec Frederik Pohl :
The Wonder Effect, nouvelles (1966), Heureux les humbles en version française.
Avec Judith Merril (pseudonyme: Cyril Judd) :
Sea Change, nouvelle (1953).
Personnalité
Frederik Pohl (dans son autobiographie intitulée The Way the Future Was) et Damon Knight (dans ses mémoires intitulées The Futurians) font tous deux une description très vivante de Cyril Kornbluth, un personnage excentrique qui avait de très curieuses manies. Ils décrivent entre autres les traits de caractères suivants :
Kornbluth décida de s'éduquer lui-même en lisant une encyclopédie de A à Z ; au cours de sa lecture, il accumulait de vastes connaissances qu'il utilisait immédiatement dans ses propres histoires. Ainsi, lorsque Kornbluth écrivait une histoire qui faisait référence à une ancienne arme romaine appelée balliste, Frederik Pohl savait que Kornbluth avait terminé sa lecture du volume A de son encyclopédie et qu'il avait commencé le volume B.
À en croire Frederik Pohl, Kornbluth ne se brossait jamais les dents. Ses dents étaient littéralement de couleur verte. Géné, Kornbluth avait pris l'habitude de mettre sa main devant sa bouche lorsqu'il parlait.
Kornbluth n'aimait pas le café noir, mais se sentait obligé d'y prendre goût, car il pensait que les auteurs professionnels devaient boire du café noir. Il s'entraînait donc à mettre de moins en moins de lait dans son café jusqu'à pouvoir boire le café noir.
Frederik Pohl et Damon Night entretenaient tous deux une profonde amitié avec Kornbluth et que leur affection transparaît très clairement dans leurs mémoires respectives. En revanche, la première de ces anecdotes doit être lue comme apocryphe, car elle ressemble à celle que racontait Bertrand Russell à propos d'Aldous Huxley.