La revue Esprit, dont Jacques Ellul fut proche, demeure fidèle à l'esprit de son œuvre en l'évoquant régulièrement comme l'une de ses références immédiates.
Le mouvement américain Jesus Radicals, qui prône pour les pays développés l'établissement d'un anarchisme personnaliste d'inspiration christologique, se revendique ouvertement et essentiellement des travaux de Jacques Ellul sur la question de la technique et quant aux solutions qu'il y apporte, orientation chrétienne-révolutionnaire comprise.
Le film de Godfrey Reggio Koyaanisqatsi lui rend hommage dans son générique de fin comme l'un des cinq inspirateurs du film.
Le philosophe Ivan Illich le considère comme un des « pères » de sa pensée.
Les courants anti-industriels, notamment l'Encyclopédie des Nuisances, se réfèrent souvent aux textes de Jacques Ellul.
Jacques Ellul semble avoir été bien plus populaire aux États-Unis que dans son université de Bordeaux. Une rue porte toutefois son nom dans le quartier Sainte-Croix, qui abrite deux établissements d'enseignement supérieur (l'IUT de Communication et les cours de musicologie au conservatoire). L'Institut d'Études Politiques (Sciences Po) de Bordeaux a par ailleurs baptisé l'amphithéâtre où se donnent les enseignements de sociologie politique l'« Amphi Ellul ».