Au milieu de ses devoirs professionnels, il avait su toujours se ménager le temps de l'étude et était entré en relation avec l'abbé Toufflaut qui maintenait à Autun le culte de la botanique. Après un savant apprentissage auprès de cet érudit, il forma plus tard un catalogue important des plantes de l'Autunois et du Morvan, inséré dans la Flore du centre de la France, de Boreau (1ere édition, 1840, Préface).
Il avait joint à l'étude de la botanique celle de l'entomologie et particulièrement celle des lépidoptères. Depuis 1843, il avait exécuté avec le plus grand soin, une série d'aquarelles comprenant 1200 individus appartenant au centre de la France, dont environ 1000 au département de la Saône-et-Loire et correspondant ainsi à la même région que ses études de botanique. Puis, rentré dans son intérieur, il trouvait dans son jardin et ses arbres fruitiers un nouvel élément de travail dans lequel il excellait comme un spécialiste.