« Il fut un des maîtres de notre jeunesse, certainement le plus pur et le plus ardent. » (Charles Péguy)
« En 1924, il y avait encore un homme : c'était Lucien Herr. Quand on voyait ce géant penché sur une colline de livres, ces yeux sans brouillard au pied d'un front bossué, d'une sévère falaise de pensées, lorsqu'on entendait sa voix qui ne mentait jamais énoncer des jugements qui ne voulaient que cette fin juste : rendre à chacun ce qui lui revient, on savait qu'il n'était pas périlleux de vivre dans cette demeure crasseuse. » (Paul Nizan, Aden Arabie)