Le 3 octobre 2006, une commission d'enquête (CECV) a été créée par le gouvernement avec trois mandats: enquêter sur les circonstances de l'effondrement, en déterminer les causes, et faire des recommandations pour éviter la répétition d'une telle tragédie. Elle présidée par l'ancien premier ministre Pierre-Marc Johnson, assisté de deux ingénieurs de renom, Armand Couture et Roger Nicolet.
Durant l'enquête, la CEVC a déterminé que:
Dans son rapport, cependant, la Commission d'enquête déclare (qu'elle) « est d’avis que l’effondrement du viaduc de la Concorde ne peut être attribué à une seule entité ou à une seule personne. Aucun des défauts ou des manquements identifiés n’aurait pu, seul, causer cet effondrement, qui résulte d’un enchaînement séquentiel de causes. » (voir notamment la page 5 du rapport)