Le jardin a été détruit au XIXe siècle et il n'en reste que l'orangerie qui aurait servi de modèle à celle de Versailles. Un billet de Le Nôtre atteste qu'il a participé à leur création.
Le corps de logis central à un étage et un étage de comble percé de lucarnes est encadré de deux pavillons plus hauts d'un étage. Le premier construit, le pavillon sud qui était à l'origine accolé au château-fort ensuite rasé est trapézoïdal. Un dôme central abrite l’escalier dont la balustrade est en marbre de Laval.
Le logis est précédé d’une cour d’honneur entourée d’une galerie à portique faisant terrasse accessible par les appartements du premier étage. Une autre galerie rejoint la chapelle
Les soubassements sont en pierre dure locale «la pierre de Vrines» ou grison les murs en tuffeau et les couvertures en ardoise.