la voie a été deposée.
Elle prend naissance sur la ligne Givors - Nîmes au sud de la Voulte-sur-Rhône (PK 633,990 depuis Paris), passe sur la commune du Pouzin (PK 640,735) la voie a été déposée entièrement .
Cette ligne se détache de la ligne Givors - Nîmes sur la commune du Teil (PK 663,634). Elle reste en état mais non exploitée jusqu'à Alba (PK 674,440). Elle est exploitée par l'Association Viaduc 07 de St Jean le Centenier à Vogüé. Il s'agit d'une ligne à voie unique non électrifiée.
Le projet de la ligne Pierrelatte - Nyons date de 1882. Construite en 1886 par la compagnie PLM. Inaugurée le 3 août 1897 par le président Félix Faure. Longue de 34 kilomètres, cette ligne est reliée à la Ligne Paris - Marseille. Le 24 septembre 1950 la fermeture de la ligne est décidée. Le 15 mars 1951 le dernier train circule sur la ligne. En décembre 1959 les rails de la ligne sont enlevés. Elle reste encore exploitée de Pierrelatte au PK 2,880. C'est une ligne à voie unique non électrifiée, gérée par la région de Lyon.
Cette ligne partait d'Orange dans le Vaucluse pour rejoindre Buis-les-Baronnies dans la Drôme. Les travaux de construction débutèrent en avril 1904 et durèrent environ 3 ans avant l'inauguration officielle le 10 mai 1907. De nombreux ouvrages furent réalisés : 48 ponts et 2 tunnels. Le matériel ferroviaire comportait 5 locomotives et des wagons : des tombereaux en fer qui transportaient du charbon, des tombereaux en bois pour les produits agricoles, des wagons à plateau pour des objets lourds et encombrants, des wagons à bestiaux et des wagons pour les voyageurs. A chaque extrémité de la ligne, il y avait une plaque tournante pour que la locomotive puisse faire demi-tour. Chaque gare possédait une lampisterie, un réservoir d'eau, une grue de 6 tonnes pour soulever les marchandises, des sanitaires et un gabarit pour savoir si le train chargé pouvait passer sous les tunnels. En 1952, la ligne ferma car elle n’était plus rentable, concurrencée par les voitures. Aujourd’hui à Camaret, il reste 3 maisons de gardes-barrières. La gare est devenue un centre aéré et les passages à niveau sont encore visibles.
Ouverture de la ligne en 1893. Cette ligne avait une longueur de 29 kilomètres. Le tramway qui y circulait fut appelé « le Picodon », nom d'un fromage local. En saison, important trafic de betteraves à destination des sucreries d'Orange par transbordement sur la ligne P.L.M.
Arrêts : Montélimar-ville - Montélimar-esplanade - Montboucher - Puygiron - La Bâtie-Roland - Portes - La Bégude-de-Mazenc - Poët-Laval - Dieulefit. La gare de Montélimar se situe sur l'enceinte du P.L.M. Après avoir suivi le quai, la ligne franchissait le Roubion sur un pont métallique pour suivre ensuite la route. (Source : [1])