Les travaux du LPMM de l’Université Blaise Pascal l’on conduit à créer (1986) un centre de transfert (CNEP) pour mettre ses compétences sur le photovieillissement des matériaux polymères au service des industriels soit pour analyser des défaillances de leurs matériaux soit mener des études d’intérêt collectif. Le Centre National d’Evaluation de Photoprotection (CNEP)[3], (en:National Centre for the Evaluation of Photoprotection) est aujourd’hui associé à une soixantaine d’entreprises et effectue annuellement plus de 500 études couvrant tous les domaines d’application des polymères y compris celui des œuvres d’art. Il est par ailleurs agréé au niveau national français comme « Centre de Ressources Technologiques ».