UNI-Lycée | |
Contexte général | |
Champs d’action | Participation à la vie lycéenne. |
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Zone d’influence |
France Europe:European Democrat Students |
Fiche d’identité | |
Forme juridique | Association loi de 1901 |
Fondation | 1968 |
Siège central | 34, rue Emile Landrin 92100 Boulogne-Billancourt 01.78.16.40.30 |
Financement | Subventions publiques, cotisations de ses membres. |
Membres | 4600 revendiqués |
Slogan | UNI-Lycée - La droite lycéenne |
Site Internet | http://www.unilycee.com/ |
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UNI-Lycée est une organisation lycéenne faisant partie intégrante de l'UNI.
L'acronyme UNI ne signifie pas ici « union nationale interuniversitaire-Lycée », mais « union nationale inter-lycée », ce qui permet d'identifier clairement le lien avec l'UNI sans créer de contre-sens (toutefois l'écriture courante du nom de l'organisation ne prend pas de « s » à lycée).
L'organisation avec près de 4 600 adhérents revendiqués serait en 2008 la troisième organisation lycéenne
Les premières sections lycéennes de l'UNI apparaissent dès 1970, mais l'UNI-Lycée (l'entité même) n'existe vraiment que depuis 2004 avec seulement 4 élus CAVL et quelques élus locaux (CVL, CA, classe). Son porte-parole de 2004 à 2007 est Thomas Seince, élu CAVL de Paris il mènera la liste de L'UNI Lycée au CSE en 2005 . L'UNI-Lycée a, en 2005, engagé sa première campagne pour le CSE. Elle peut compter sur 45 élus CAVL, soit 17% des votants, mais n'obtient pas de siège.
En 2006, c'est Tristan Maupoil qui mène la liste Uni-Lycée pour le Conseil supérieur de l'éducation, même score et toujours pas de siège. De fin 2007 à début 2008, son porte-parole est Louis Morin (voir plus bas, rubrique 'proximité avec l'UMP').
Fin 2008, la porte-parole devient Charlotte Kudé, élue CAVL de Versailles (voir référence précédente). En 2009, après une percée électorale, l'UNI-Lycée organise sa première convergence. En Août 2009, Charlotte Kudé n'étant plus au lycée cède sa place à Cyprien Feilhes, élu CNVL de Toulouse.
Son action est de droite, l'UNI-Lycée a notamment défendu la loi Fillon en opposition aux manifestations lycéennes de 2005, ainsi que le Contrat première embauche en 2006.
En 2007 et 2008, elle a condamné les manifestations et les blocages de lycées effectués en protestation contre la loi LRU (novembre 2007), puis les mesures prises par le ministre Xavier Darcos concernant des suppressions de postes à l'Éducation nationale.
En 2009, l'UNI-Lycée lance une campagne pour la réforme du lycée organisée par Xavier Darcos.
Elle a participé à la campagne présidentielle aux côtés des « étudiants avec Sarkozy ».
Ses principales prises de positions et axes de campagnes sont les suivants: