|
rame automotrice électrique |
|
|---|---|
| Série | Z 3700 |
| Entreprise ferroviaire | État puis SNCF |
| Constructeur | Carel et Fouché-Jeumont-Schneider |
| Numérotation | Z 23701-23720 État puis Z 3701-3720 SNCF |
| Année de construction | 1938 |
| Effectif en service | radiées en 1985 |
| Vitesse maximale | 130 km/h |
| Longueur hors-tout | 40,710 m |
| Composition | 2 caisses articulées (M1+M2) |
| Motorisation | 6 moteurs SW 9273 675 V |
| Puissance | 883 kW |
| Alimentation | continu 1,5 kV |
| Écartement | standard |
| Capacité | 1ère : 28 assis, 24 debout 2e : 94 assis, 60 debout |
| Masse à vide | 78 t |
Les Z 3700 sont des automotrices électriques mises en service par le réseau de l'État à l'occasion de l'électrification de la ligne Paris - Le Mans. Elles ont été intégrées aux effectifs de la SNCF à sa création.
Première application en france de l'acier inoxydable, dans la construction ferroviaire, brevet Budd, ces engins étaient également caractéristiques de par leurs deux feux frontaux superposés. Les Z 5100 sont considérées comme la descendance directe de ces engins. Ces deux séries ont d'ailleurs eu en commun des durées de vie très longues.
La série a passé l'essentiel de sa carrière au dépôt de Montrouge. Un exemplaire (la Z 3714) est conservé à la Cité du train à Mulhouse afin de préserver l'histoire de la série.