En Inde, le basilic est une plante sacrée déposée en offrande à Vishnou, protecteur du monde, et à Krishna, un dieu sauveur du monde.
Durant l'Antiquité, il était considéré comme une plante royale.
Dans certaines régions d'Afrique, le basilic est utilisé pour conjurer le mauvais sort.
Dans l'Europe du Moyen âge, le basilic faisait partie des plantes de la sorcellerie avec la belladone et la digitale.
Dans le Decameron, Boccace raconte qu'Élisabeth, une de ses héroïnes, enterra la tête de son amant dans un pot de basilic arrosé de ses larmes.
Dans le langage des fleurs de l'Europe du XIXe siècle, il exprime la haine car selon la légende la plante poussait mieux si elle était injuriée en la cultivant.