Les Indiens Caraïbes coupaient en deux les fruits, les évidaient et en faisaient des récipients appelés coui (kwi) ou calebasse en créole antillais. Ils pouvaient ensuite être décorés avec du roucou ou de l'indigo. Ces couis coupés à nouveau en deux servaient de cuillères sous le nom de cicayes.
En Dominique, les Caraïbes utilisaient la pulpe du fruit contre les refroidissements. Ils la considéraient comme purgative et même abortive. Ils en faisaient aussi des cataplasmes contre les maladies de peau.
Au début du XXe siècle, la pulpe était utilisée en usage externe contre les coups de soleil, les "crabes" (crevasses de la plante du pied), les contusions et les blessures.