Il y a au total six facultés :
À l'automne 1996, un « Centre Interdiciplinaire d’Écologie » (IÖZ) a ouvert ses portes.
Pour l'année universitaire 2009-10, on compte 5000 étudiants inscrits à la TU Bergakademie, dont 30 % d'étudiantes et 8 % d'étudiants étrangers. Il y a au total 27 filières différentes (2009), qui ont été reformatées conformément au cursus Licence/Master/Doctorat imposé par le Processus de Bologne. La TUBAF se distingue par son ouverture vers les applications industrielles et se multiples coopérations avec les partenaires privés, ce que reflète à la fois le nombre de ses étudiants, et des contrats de recherche représentant au total 35 millions d'euros pour la seule année 2008.
La TU Bergakademie Freiberg est l'un des organismes co-fondateurs de l’Institut Supérieur International de Zittau (IHI) créé en 1993, et elle est à l'initiative du regroupement des établissements d'enseignement supérieur de Saxe, le SAXEED.
Grâce au Fonds Dr.-Erich-Krüger, la TU Bergakademie Freiberg a reçu en décembre 2006 avec un don de 3 M€ la plus importante donation conférée à une école supérieure d'Etat en Allemagne. Avec les contributions immobilières de l'entrepreneur Peter Krüger (originaire de Freiberg et ancien étudiant), l’université dispose de moyens suffisants pour moderniser les équipements de recherche et subventionner les boursiers.
Krüger, qui venait d'être élu président d'honneur, est décédé le 13 juillet 2007, à Munich.
Au début de 2007, un nouveau fonds a été ouvert au profit de TUBAF par la société SolarWorld AG spécialisée dans la cellule photovoltaïque. Il sera mis à disposition de la faculté de Chimie et de physique.
L’École des Mines de Freiberg entretien aujourd'hui 42 accords de coopération avec d'autres grandes écoles et universités. Parmi les célèbres universités et écoles des Mines associées, citons :
L’École des Mines de Freiberg est un campus universitaire, dont la plus grande partie se trouve au nord de la ville de Freiberg. Mais il y a toujours quelques bâtiments dans le centre-ville, comme par exemple les locaux historiques dans Akademiestrasse (voir photo), la médiathèque dans Prüferstrasse, l'association estudiantine Alte Mensa dans Petersstrasse, l'immeuble Werner dans la Brennhausgasse (abritant l'Institut de Mineralogie, ainsi que les collections minéralogiques et les cartes historiques), les bâtiments du n°45 de la Lessingstrasse (abritant les classes d'économie et l'institut de langue), sans compter les autres locaux installés autour du terril de la mine pédagogique dite « Reiche Zeche ».
Depuis octobre 2008, la collection de minéraux de l'Ecole des Mines, l'une des plus importantes au monde, a été transférée au château de Freudenstein. L'exposition permanente terra mineralia a été rendue possible par un prêt permanent de la Suissesse Erika Pohl-Ströher.
L’École des Mines mine gère le patrimoine minier de la « Reiche Zeche » et de l’« Alte Elisabeth », deux anciens placers ouverts aux visiteurs et où l'on enseigne également l'archéologie industrielle.
L'Observatoire Sismologique de Berggießhübel est géré par l'Institut de Géophysique de l’École des Mines de Freiberg.