Les relations entre les loups et les hommes sont toujours houleuses. Le folklore montre le loup comme un prédateur sanguinaire, sauf dans quelques exceptions comme en Italie (où la louve est associée au mythe de Romulus et Rémus, où elle joue un rôle protecteur nourricier), chez les Inuits et chez les Amérindiens. Voici quelques thèmes folkloriques au sujet du loup :
À la limite de l'histoire et du folklore :
Dans la « légende dorée »
Dans la Bible, le loup est associé à la tribu de Benjamin.
L'expression "attraper/choper le loup" signifie familièrement avoir une irritation au niveau de différentes zones sensibles du corps (aisselles, pli de l'aine, intérieur des cuisses, anus etc.), due a des frottements répétés ou à une mauvaise hygiène. Cette expression provient probablement des hurlements (comparables à ceux d'un loup) que la douleur peut provoquer...
Dans l’imagination occidentale, le loup incarne l’animal féroce par excellence. « Craint dans toute l’Antiquité et du Moyen Âge, il revient aux temps modernes périodiquement se réincarner dans une quelconque bête du Gévaudan »[réf. souhaitée].
Chez les anciens Égyptiens, Anubis a une tête de canidé. De même Kronos, qui a le visage d'Anubis, se montre comme un monstre dévorant le temps humain. Chez les Étrusques, «le dieu de la Mort a des oreilles de loup».
Ce n'est qu'à partir du moment où l'on a commencé à se rendre compte de sa forte décimation (à partir du XIXe) que l'image du loup s'est soudainement améliorée[réf. souhaitée].
En contre-partie, chez les Amérindiens, le loup est beaucoup mieux vu, comme "incarnation de l'esprit" ou "réincarnation"[réf. souhaitée].
Sigmund Freud associait, dans l'inconscient, le loup au désir, aux pulsions primales, particulièrement sexuelles.