D'après la classification de référence du Congrès ornithologique international (ordre phylogénique) :
Des dizaines d'années durant, l'appétit de l'Europe pour leurs plumes alimenta la chasse et un commerce vigoureux. Celui-ci culmina au début des années 1900 : 80 000 peaux étaient alors exportées chaque année de Nouvelle-Guinée pour orner les chapeaux des dames européennes. En 1908, dans les régions de Nouvelle-Guinée qu'ils administraient, les Britanniques déclarèrent la chasse hors la loi. Les Hollandais les imitèrent en 1931. Aujourd'hui, aucun paradisier ne quitte l'île légalement hormis pour une utilisation scientifique.
D'après la classification de référence du Congrès ornithologique international (ordre phylogénique) :