C'est un antidépresseur de la sous-classe des Inhibiteurs sélectif de la recapture de la sérotonine.
Elle atteint sa concentration maximale en 4,9 h (si la prise se fait au cours d'un repas), en 6,4 h (si la prise se fait à jeun).
[traduction partielle depuis la page anglaise, version du 26 11 2007] Le 6 octobre 2006, une cour de justice des États-Unis a approuvé la qualification en "class action" des poursuites de toute personne des États Unis ayant acheté du Paxil(R) or Paxil CR(TM) prescrit pour la consommation d'un mineur. GlaxoSmithKline est poursuivi pour avoir recommandé Paxil(R) or Paxil CR(TM) à la prescription pour les enfants et adolescents tout en occultant des informations liées à la sécurité d'emploi et l'efficacité du médicament sur les mineurs, ce que GSK réfute.
La décision de justice actuelle permet à toute personne des États-Unis, ayant acheté du Paxil ou Paxil CR pour des enfants ou adolescents, d'être remboursé de 100% de ses dépenses sur justificatif, ou jusqu'à 100$ si aucun justificatif n'a été conservé.
Au Royaume Uni, depuis 2001, des poursuites similaires sont en cours contre Glaxo-Smithkline concernant le Seroxat, sur la base qu'il aurait des effets indésirables graves, ce que Glaxo-Smithkline minore dans l'information faite aux patients.
En mars 2004, la FDA a imposé qu'un bandeau d'alerte soit apposé sur tous les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et les autres antidépresseurs, avertissant du risque de pensées suicidaires chez les enfants et adolescents. [1],[2] La prescription de ces médicaments aux enfant a par la suite baissé de 20%. [3].
Depuis que la substance active a été approuvée par la FDA en 1992, environ 5000 citoyens des États-Unis ont poursuivi GSK. La plupart d'entre eux se sentant insuffisamment prévenus des effets secondaires - entre autres les symptômes d'accoutumance, GSK ayant spécifié que ce médicament "ne rendait pas dépendant"[4]
Le 29 01 2007 une émission de la BBC ayant pour sujet le Seroxat exploita les données des essais cliniques de GSK ; ces données montrent qu'on ne peut prouver qu'il fonctionne sur les adolescents, mais que cela leur donne 6 fois plus de risques de devenir suicidaires.