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Les résultats d'une enquête statistique peuvent donner lieu à de nombreuses représentations graphiques.
Une règle générale distingue les représentations sans épaisseur (diagramme en bâtons) et les représentations avec épaisseur : dans une représentation sans épaisseur, l'effectif (ou la fréquence) est proportionnel à la hauteur, tandis que dès qu'une surface existe, l'effectif (ou la fréquence) est proportionnel à l'aire.
Pour des variables quantitatives discrètes, on privilégie le diagramme en bâtons, mais on voit apparaître parfois des représentations avec épaisseur.
Pour des variables qualitatives, on utilise fréquemment les diagrammes circulaires dits « en camembert », demi-circulaire ou rectangulaire. On trouve aussi des diagrammes figuratifs avec le danger évoqué plus haut.
On utilise l'histogramme en respectant la règle des aires. Pour éviter tout danger, il est préférable de travailler avec des classes d'amplitude constante. Dans ce cas, les hauteur des rectangles sont proportionnelles aux effectifs (ou aux fréquences). Le cas des classes d'amplitudes variables se révèle plus délicat et est traité dans statistiques élémentaires continues. On trouve aussi pour les variables continues la même tentative de lissage avec la même réserve sur la règle des aires.
On rencontre principalement cette représentation dans les séries statistiques à deux variables. Elle apparaît aussi de manière moins identifiable dans les cartes géographiques ou météorologique (impact de la foudre, densité de population, présence d'industries,...). L'effectif est alors associé à une taille de point ou une couleur de fond.