Au début des années 2000 sont apparues les thiazolidinediones (TZD), une nouvelle classe d'antidiabétiques oraux agissant spécifiquement sur le PPARγ, dont la rosiglitazone est utilisée avec succès pour le traitement de certains diabètes de type 2. en plus des effets de sensibilisation à l’insuline, les TZD (Rosiglitazone, Pioglitazone) causent un gain de poids à travers l’augmentation de l’adipogénèse et la rétention d’eau. Les TZD par leurs effets secondaires réalisent un accroissement du risque d’insuffisance cardiaque congestive. La rosiglitazone, mais pas la pioglitazone augmente également les risques d’infarctus du myocarde. Finalement, les TZD augmentent la mortalité en les comparant aux autres hypoglycémiants oraux (Lipscombe al, 2007). Les (SPPARMs) modulateurs sélectifs des PPARs représentent l’espoir thérapeutique en génerant une hypoglycémie mais ne générant pas de gain de poids.
Ils jouent un rôle important dans le métabolisme des acides gras, l’inflammation et le développement embryonnaire. Initialement découvers chez xenopus, ce sont des facteurs de transcription qui induisent la prolifération des peroxysomes, organites cellaires impliqués dans le métabolisme des lipides et l'homéostasie énergétique.