Ces zones peuvent évoluer naturellement ou sous l'influence de facteurs artificialisants, en particulier ells peuvent s'envaser (on parle d'atterrissement des zones humides) ou être drainées. Une diminution du volume d'eau y entraine une plus forte concentration des polluants et une modification de l'amplitude thermique et de la brutalité des changements de température ou de salinité/dureté.
En réalité il s'agit surtout d'un concept théorique utile pour la modélisation et la gestion, mais la plupart des réservoirs biologiques ne jouent ce rôle de réservoir que pour quelques espèces, n'étant qu'une zone de passage ou une zone accueuillant l'une des nombreuses populations d'autres espèces.