Il est connu que la consommation d'acide gras influence les maladies chroniques :tel que obésité, diabète, cancer, arthrite, asthme et les maladies cardiovasculaires.
L’importance d’un apport adéquat en acides gras essentiels, et plus particulièrement en EPA et DHA, pour le développement et la maturation fœtale est aujourd’hui démontrée.
une étude conclut que l'huile de poisson peut prévenir la survenue de maladies inflammatoires en agissant sur different mécanisme de la réponse inflammatoire.
Il est prouvé que l' EPA (avec la DHA incluse) est:
De plus la consommation d'EPA (et de DHA) conduit à réduire les risques d'infarctus fatals ou non, ainsi que les complications d'insuffisance cardiaque.
-contre-étude: Une étude conclut (épistémologique) qu'une supplémentation en oméga 3 pour la prévention des troubles cardiaques devrait être au second plan(car il n'a pas été corrélé une amélioration clinique avec cette supplémentation ).
une étude indique qu'une diète de poisson gras ou maigre ne change pas l'expression des gènes de l'inflammation et de la fonction de l'endothélium dans les cellules sanguines periphériques mononucléaires (PBMC) chez les patients coronariens.par contre la diminution du ratio AA:EPA (AA = acide arachidonique) dans les lipides du sérum avec la diète de poisson gras(uniquement) peut induire une réponse antiinflammatoire sur les niveaux de mRNA des PBMC, tandis qu'une diète de poissons maigres semble bénéfique au fonctionnement de l'endothélium probablement provoqué par les changements de la composition des acides gras du sérum.
Plusieurs études ont montré que l’effet de l’apport d’EPA ou de DHA sur le risque de cancer du sein ou de la prostate dépendait de l’apport concomitant d’acides gras n-6 et d’anti-oxydants. L’EPA pourrait également avoir un effet dans la prévention de tumeurs colo-rectales.
il est prouvé (corrélation "robuste") une relation inverse entre la consommation de "produit de la mer" et la prévalence de trouble bipolaire.
Certaines études ont également démontrées qu'une alimentation enrichie en EPA permettait de réduire légèrement les symptômes de schizophrénie(avec antipsychotique).(les études ne portent que sur peu de sujets témoins ou d'études épistémologiques) D'autres études mettent en valeur le fait qu'il ne s'agit pas forcément d'un manque en EPA dû à une alimentation carencé mais à des anomalies métaboliques.. certaines études ne mettent pas en valeur une relation inverse entre les acide gras (epa(inclus) et dha)et la sévérité des symptômes dans la schizophrénie.Mais on constate que la consommation de tabac influe sur l'absorption de l'EPA (relation inverse), les femmes sont avantagées. une autre étude met en valeur l'absence d'amélioration des symptômes cognitifs et négatifs dans la schizophrénie. un article publie une amélioration importante des symptômes positifs et négatifs(schizophrénie) portant sur un patient n'ayant jamais pris d'antipsychotique.